Quand vous avez eu vos règles au départ, vous avez vite compris que ce ne serait pas simple. En plus, ça allait revenir…tout le temps ! 

Des jours de cours ratés, des journées prises au travail… Prendre une journée devrait rimer avec «faire quelque chose qu’on a envie de faire», pas avec « se terrer dans le noir et s’enfermer dans le silence en attendant que ça passe ». Et puis de cachets anti-douleurs en bouillotte chaude collée au ventre, enfoncée sous votre couette, vous avez pris l’habitude d’aller mal à ce moment-là. * 

Et  le malaise s’étend en dehors de cette période, avec sa vague d’anxiété qui monte, la peur que vos règles tombent mal, en plein examen, sur votre période d’essai, en période crucial au travail, pendant le mariage tant attendu…et quand vous voudrez avoir des enfants, est-ce que vous pourrez concevoir?

Le moral vascille, la fatigue s’accumule, vous n’en pouvez plus.

* Il est indispensable de prendre avant tout un avis médical pour vérifier qu’il ne s’agit pas d’une pathologie.